Commune : | Saint-Julien-de-Jordanne |
Département : | Cantal |
Lieu-dit : | |
Nom de Lieu-dit : | Saint-Julien-de-Jordanne / brg |
Type de Lieu-dit : | chef-lieu de commune |
Description : | |
Ancienne : | Sanctus Julianus, 1522 (minutes Vigery notaire) Sainct-Julhe ; Sainct-Julhie ; Sainct-Julhien, 1573 (terrier de la chapellenie des Blats) Sainct-Joilhia-en-Jordanne, 1622 (état civil de Trizac) Sainct-Julie, 1634 (état civil de Thiézac) Sainct-Julain, 1665 (état civil de Polminhac) Sainct-Joulhe,1676 (liève de la maison des Blats) Sainct-Jolhe, 1692 (terrier de Saint-Geraud) Sainct-Vilir, 1692 (état civil de Chastel-sur-Murat) Saint-Julien (Cassini) |
Commentaires : | Saint-Julien-de-Jordanne était, avant 1789, de la Haute-Auvergne, du diocèse de Saint-Flour, de l'élection et de la subdélégation d'Aurillac. Régi par le droit écrit, il dépendait de la justice seigneuriale de la Peyre, et ressortissait au bailliage d'Aurillac en appel de sa prévôté particulière. Son église, dédiée à saint Julien, était une annexe de Saint-Cirgues-de-Jordanne. Elle a été érigée en chapelle vicariale par ordonnance royale du 29 décembre 1831, et en succursale par une autre ordonnance du 31 mai 1840. En exécution de la loi du 5 juillet 1844, la section de Saint-Julien a été distraite de la commune de Saint-Cirgues-de-Jordanne et érigée en commune distincte. Par arrêté préfectoral du 9 novembre 1972, Saint-Julien de-Jordanne fusionne avec Mandailles, sous le nom de Mandailles-Saint-Julien. |
Références : | |
Source : | Dictionnaire Topographique du Cantal - Emile Amé (1897) |
Cadastre Napoléonien : | Document1 |
Carte de Cassini : | Image1 |
Crédits : | |
Transcripteur : | Christiane Vayre |
Mise en Forme : | Marcel Croute |