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Contact Aprogemere 5 rue Édouard Herriot 15000 Aurillac |
| Commune : | Jou-sous-Monjou |
| Département : | Cantal |
| Lieu-dit : | |
| Nom de Lieu-dit : | Jou-sous-Montjou / brg |
| Type de Lieu-dit : | chef-lieu de commune |
| Description : | |
| Ancienne : | Jou, 1237 (archives départementales série H) Jou de subtus Monjou, 1361 (vente par Hector de Montjou) Jouz, 1381 (spicil. Brivat.) Juou de subtus Montjou, XIVe siècle (archives municipales d'Aurillac série HH c 21) Mongho, 1522 (minutes Vigery notaire) Jou Montozou ; Jou sur Montzyou, 1640 (archives municipales d'Aurillac série CC page 1) Jaou-soubz-Mon-Juou, 1642 (pièces du cabinet Lacassagne) Jou-soubz-Mont-Jou, 1669 (nommée au prince de Monaco) Giou-sous-Mongoiu, 1670 (état civil de Polminhac) Juou, 1674 (état civil de Jou-sous-Montjou) Jou-soubz-Montiou, 1688 (pièces du cabinet Bonnefons) Juou-soubs-Monjou, 1696 (terrier de la commanderie de Carlat) |
| Commentaires : | Jou-sous-Montjou était, avant 1789, de la Haute-Auvergne, du diocèse de Saint-Flour, de l'élection et de la subdélégation d'Aurillac. Régi par le droit écrit, il dépendait de la justice seigneuriale de Cropières, et ressortissait au bailliage de Vic, en appel de sa prévôté particulière. Son église, dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, était un prieuré annexé à celui de Saint-Julien-du-Pont près Florac, et à la collégiale de l'évêque de Saint-Flour. Elle a été érigée en succursale par décret du 28 août 1808. |
| Références : | |
| Source : | Dictionnaire Topographique du Cantal - Emile Amé (1897) |
| Cadastre Napoléonien : | Document1 |
| Carte de Cassini : | Image1 |
| Crédits : | |
| Transcripteur : | Christiane Vayre |
| Mise en Forme : | Marcel Croute |